Thursday, 12 July 2012

Con trai Tống thống Pháp chỉ trích người tình của bố

Con trai Tống thống Pháp chỉ trích người tình của bố
Người con cả của Tổng thống Pháp Francois Hollande đã lên tiếng công kích bà Valerie Trierweiler, người tình của ông Hollande, cáo buộc bà huỷ hoại hình ảnh “Ông Bình dân” của cha mình.

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Thomas Hollande, một luật sư 27 tuổi, đã chỉ trích bà Valerie Trierweiler, 48 tuổi, vì cách cư xử của bà kể từ khi trở thành đệ nhất phu nhân Pháp hồi tháng 5.

Bà Trierweiler đã gây ra một “cơn bão” chính trị hồi tháng trước khi bày tỏ sự ủng hộ dành cho một chính trị gia là đối thủ của bà Segolene Royal trong cuộc bầu cử quốc hội. Điều đáng nói là bà Royal từng là bạn đời của ông Hollande trong 30 năm và có với ông 4 người con: Thomas, Clemence, 25 tuổi, Julien, 22 tuổi và Flora, 20 tuổi.

Sau đó, bà Royal đã thất bại trước ứng viên được bà Trierweiler ủng hộ. Sau vụ lùm xùm, các con của ông Hollande tuyên bố không bao giờ muốn gặp mặt bà Trierweiler, mặc dù đệ nhất phu nhân Pháp đã lên tiếng xin lỗi và lấy làm tiếc về những gì đã xảy ra.
Thomas Hollande, con cả của Tổng thống Hollande và bạn đời cũ Segolene Royal.
Thomas Hollande, con cả của Tổng thống Hollande và bạn đời cũ Segolene Royal.
Trong cuộc phỏng vấn trên tạp chí Le Point mới đây, Thomas Hollande nói cha anh đã bị tổn hại vì hành động của bà Trierweiler và “vụ việc đã khiến ông bị tổn thương nhiều”.

“Tôi cảm thấy thực sự tiếc cho cha mình. Ông không thích mọi người nói về chuyện đời tư của mình. Vụ việc đã phá huỷ hình ảnh bình dân mà ông đã gây dựng”, Thomas nói.

Trong chiến dịch tranh cử tổng thống Pháp, ông Hollande đã chiếm tình cảm của cử tri thông qua hình ảnh “Ông Bình dân”, đối lập với người tiền nhiệm Nicolas Sarkozy, người được mệnh mệnh là “Tổng thống thích hàng hiệu”.

Thomas xác nhận cả anh và 3 người em đều không muốn gặp lại bà Trierweiler nữa. Chàng luật sư trẻ tuổi cũng cho rằng việc bà Trierweiler vừa là đệ nhất phu nhân, vừa là nhà báo đã gây nhập nhằng.

Điện Elysee hiện chưa có bình luận chính thức nào về bài phỏng vấn trên tờ Le Point.

Bà Trierweiler đã không tháp tùng chồng trong chuyến công du tới London hôm 10/7 khi nhà lãnh đạo Pháp gặp Thủ tướng Anh David Cameron và Nữ hoàng Elizabeth II.
Theo Phan Anh
Dân trí
http://megafun.vn/tin-tuc/quoc-te/201207/Con-trai-Tong-thong-Phap-chi-trich-nguoi-tinh-cua-bo-215457/

Xuất bản: 14:01, Thứ Năm, 12/07/2012
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Le Point.fr - Publié le 11/07/2012 à 19:09 - Modifié le 12/07/2012 à 09:10

Le fils du président de la République revient pour la première fois sur l'affaire du tweet. Décapant.

Thomas Hollande a reçu de son père la promesse de clarifier publiquement le rôle de la première dame.Thomas Hollande a reçu de son père la promesse de clarifier publiquement le rôle de la première dame. © Christophe Petit Tesson/MaxPPP


Il pensait trouver un chemin où se faufiler entre deux figures écrasantes, Ségolène Royal et François Hollande. Fort de deux campagnes présidentielles côté coulisses, Thomas Hollande, 27 ans, cofondait en février un groupe de réflexion politique, "tant le compte n'y est pas dans les propositions disponibles", clamait l'édito de présentation.
Ce 4 juillet, à la terrasse d'un bistrot parisien proche du cabinet d'avocats qui l'emploie, il confie laisser tomber l'aventure : "Je ne le sens pas." Le jeune homme ne prend même plus la peine de parler de ses parents en disant "François" et "Ségolène". C'est le fils qui parle et il dit "mon père" et "ma mère". "Ce que je reproche au tweet, c'est d'avoir fait basculer la vie privée dans la vie publique", lâche Thomas Hollande. Car c'est bien l'incroyable soutien de Valérie Trierweiler à Olivier Falorni, rival de Ségolène Royal aux législatives de juin à La Rochelle, qui le pousse à prendre du recul. "Ça m'a fait de la peine pour mon père, il déteste tellement que l'on parle de sa vie privée. Ça a détruit l'image normale qu'il avait construite", juge-t-il, définissant un François Hollande "ahuri" par le geste de sa compagne. Il poursuit : "Je savais que quelque chose pouvait venir d'elle un jour, mais pas un si gros coup. C'est hallucinant."

Il ne veut plus voir Valérie Trierweiler

Thomas Hollande ne veut plus voir Valérie Trierweiler. Son frère et ses soeurs non plus. "C'est logique, non ? Et puis, ce qui compte, c'est qu'on normalise les relations avec notre père." Après le coup de sang de Trierweiler, François et Thomas ont dîné en tête à tête. Le président a demandé à son fils de "ne pas alimenter le feuilleton". Thomas a reçu de son père la promesse qu'il s'exprimerait sur le tweet et clarifierait le rôle de la première dame, sans doute le 14 juillet. "C'est un facteur d'instabilité... Soit elle est journaliste, soit elle a un cabinet à l'Élysée", tranche Thomas Hollande, qui supplie : "Et surtout pas de deuxième tweet !", bien qu'il ne semble pas rassuré. Imaginant la rentrée du PS à La Rochelle, fin août, il se rend compte que Falorni, exclu du parti pour sa dissidence, ne sera pas le bienvenu et cherchera sans doute à faire parler de lui : "Peut-être qu'il s'affichera en terrasse avec Valérie !" rigole Thomas.
Quant à Ségolène, son fils la voit "ministre, pourquoi pas, dans quelques mois. En politique, on n'est jamais mort", ­martèle cet observateur très ­privilégié.
http://www.lepoint.fr/politique/thomas-hollande-ca-m-a-fait-de-la-peine-pour-mon-pere-11-07-2012-1484336_20.php
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Thomas Hollande dément ses propos sur Valérie Trierweiler

Par L.R. - Le 12/07/2012
Thomas Hollande dement ses propos sur Valerie Trierweiler
Dans un article du « Point », à paraître jeudi, Thomas Hollande, le fils aîné du chef de l’Etat, évoque l’épisode du « tweetgate » mais accuse l’hebdomadaire d’avoir « déformé ses propos ».
Dans son édition datée du 12 juillet, « Le Point » relate une conversation tenue avec Thomas Hollande. Le jeune homme s'exprime sur le tweet de soutien que Valérie Trierweiler avait envoyé à Olivier Falorni, rival et vainqueur de sa mère Ségolène Royal aux législatives à La Rochelle. « Ce que je reproche au tweet, c'est d'avoir fait basculer la vie privée dans la vie publique », dit alors l'avocat de 27 ans, selon l'hebdomadaire. « Ça m'a fait de la peine pour mon père, il déteste tellement que l'on parle de sa vie privée. Ca a détruit l'image normale qu'il avait construite », ajoute-t-il, toujours selon « Le Point ». « Je savais que quelque chose pouvait venir d'elle un jour, mais pas un si gros coup. C'est hallucinant », déclare enfin le jeune homme selon le magazine.

Des propos déformés
Si à première vue on pourrait penser que Thomas Hollande a une dent contre la compagne de son père, ses propos sont à prendre avec des pincettes. En effet, dès mercredi soir, le fils du président de la République a assuré aux journalistes de l’AFP que ses propos avaient été déformés. « Je démens avoir accordé une interview au « Point ». Les propos rapportés, dont certains sont déformés ou sortis de leur contexte, ont été tenus lors d'une conversation informelle » avec une journaliste de l'hebdomadaire, a-t-il déclaré.
Rapidement, la journaliste en question, Charlotte Chaffanjon a répliqué sur son compte tweeter en affirmant qu’aucun propos n'avait été déformé soulignant qu'il s'agissait d'un « article » et à aucun moment d'une « interview ».
Dans cet article Thomas Hollande, qui ne souhaite plus avoir de contacts avec Valérie Trierweiler tout comme son frère et ses sœurs, explique par ailleurs qu’il souhaite désormais « normaliser les relations avec son père ». Il affirme que son père lui a promis de s’exprimer sur cette affaire, très prochainement, probablement lors de son interview télévisée du 14 juillet.

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